Au moment du confinement de mars j’étais paniqué car j’avais peur de tomber malade du Covid et de devoir fermer ma boucherie. En effet, je suis le seul capable de la gérer, de faire les achats. Mes salariés découpent la viande, d’autres la vendent.
M. Motte n’a pas minimisé les risques que je prenais, celui de déposer le bilan car avec ma trésorerie je ne pouvais tenir que quelques semaines. Comment faire alors dans le cas d’une fermeture ponctuelle pour régler mes frais généraux (loyer, électricité, charges, etc.) ?
La prévoyance professionnelle qu’il m’a proposée a été effective dès la signature. J’ai alors pu pousser un ouf de soulagement.
De retour à Lille, il est venu me voir et nous avons évoqué ma retraite car je n’avais encore rien monté. Il m’a alors parlé des avantages fiscaux des contrats d’épargne retraite et j’y ai souscrit. J’avais une demande précise concernant mes placements. Je les voulais éthiques, si possible conformes à l’Islam. Il a fait une recherche approfondie pour me proposer des supports dans des entreprises qui ne vendent ni alcool, ni d’armes et ne font pas travailler les enfants.